Aujourd'hui c'est le premier mai, c'est la fête du travail alors... J'ai rien foutu, non non non !
J'ai aussi reçu un joli muguet, je vous le met ici pour que tout le monde le voit :
J'ai pris le soleil, j'ai joué à la console (même que j'ai fini Lego Indiana Jones, un vrai plaisir), j'ai câliné les cochons d'indes, j'ai fait un peu de cuisine quand même, et heu... Nan sinon la glandouille pure et dure !
Pour ceux que ça motive :
Galettes de pois chiche maison
Faites tremper les poids chiche, les faire cuire. Mettre tout ça dans le mixer (y'en avait quoi, 500 g ?), avec 4 oeufs, de la coriandre, du cumin, une échalote et de l'ail, mixer vigoureusement, rajoutez de l'huile d'olive pour que ça patine pas trop, un peu de poivre et de sel voir de la sauce soja.
Faites des pâtés dans la poêle bien chaude, avec un peu d'huile pour frire si ça vous tente.
C'est bon, mais bourratif. L'intérieur a une consistance encore un peu trop farineuse à mon goût ; faudrait accompagner ça d'une sauce. La sauce sweet chili se marie bien mais un peu forte quand même à côté de la finesse du poids chiche.
Ceci dit le frérot m'en a pas laissé des tonnes.
Comme d'hab' mon copain n'a pas aimé, mais il a fait l'effort d'en goûter quelques miettes alors c'est toujours ça de gagné. J'aimerais bien qu'un jour il se motive vraiment pour manger normalement. En attendant, pâtes et pâtes... Et moi à côté je me fait à bouffer toute seule, c'est pas motivant mais le régime pâte reste stocké sur les hanches sinon. Déjà que les lessives font rétrécir mes pantalons... (qui c'est qui vérifie pas la température, hein ?)
J'oscille entre surexcitation et déprime profonde. Horrible. Une partie est lié au nouveau médoc que je prend, l'autre à ma vie.
Il faudrait que je prenne le courage de me faire du bien, que je me foute un coup de pied au derrière pour aller mieux.